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La Côte (Haute-Saône)

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La Côte
La Côte (Haute-Saône)
Vue du village et des Vosges.
Blason de La Côte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lure
Maire
Mandat
Robert Vuillemard
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70178
Démographie
Population
municipale
526 hab. (2021 en évolution de +2,14 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 16″ nord, 6° 34′ 22″ est
Altitude Min. 307 m
Max. 362 m
Superficie 6,93 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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La Côte
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La Côte
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La Côte
Liens
Site web pays-de-lure.fr/la-cote.htm

La Côte est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Localisation

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Le village se trouve à environ 6 kilomètres de Lure et 10 km de Ronchamp, entre Palante et Malbouhans.

La surface sur laquelle le village s'étend forme une sorte de cuvette en deux pentes qui ont comme intersection la route de Lure-Ronchamp. La nappe phréatique est relativement peu profonde. La commune est essentiellement entourée de forêt (sapin, chêne et hêtre). Le village est desservi par deux routes principales formant une intersection au carrefour de l'église. Derrière la Poste s'étendent de très vastes terrains plats.

Topographie

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Le territoire communal dans son contexte local.

La Côte est construite sur le plateau de Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[1] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[2]. Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[3].

Hydrographie

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Le Rahin à La Côte.

Au centre du village, à côté de l'école s'écoule le Rahin qui est alimenté par le ruisseau de l'étang de Malbouhans. Il est bordée sur sa rive gauche par des terrains agricoles inondables. Malgré les sécheresses, celui-ci n'est quasiment jamais à sec. Quelques étangs sont éparpillés sur la commune. On pratique la pêche dans l'un d'eux.

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 285 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 10,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étobon », sur la commune d'Étobon à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 272,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , La Côte est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), prairies (12,9 %), zones urbanisées (9,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Projet d'aménagement et paysage

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La commune fait partie du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), document d'urbanisme de référence pour la commune et toute l'intercommunalité approuvé le [16]. La Côte fait également partie du SCOT du pays des Vosges saônoises, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles, notamment en matière d’habitat, de mobilité, d’aménagement commercial, d’environnement et de paysage[17].

Voies de communication et transport

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La commune est traversée par la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville et la RD 619. Les Lignes Saônoises intègrent La Côte à leur réseau[18].

Risques naturels et technologiques

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La commune est installée au 3/4 sur une zone inondable en cas de crue du Rahin[19].

La Côte sur un atlas communal de la Haute-Saône, en 1858.
Outillage de mineur et statue de la Vierge sur une ancienne ferme du village.

Costa en 1187 est devenu La Coste en 1273. Le nom vient du mot -coste- en ancien français issu lui-même du latin costa. On peut traduire en français courant ces deux mots par colline, ce qui est vérifié géographiquement.

Au XIXe siècle, dans la forêt communale était extraite de la tourbe. Le village, qui fait partie de la paroisse de Roye est alors connu pour sa production de pomme de terre et son kirsh de qualité issu de variétés rares de cerises[20].

Le village compte de nombreux mineurs travaillant aux houillères de Ronchamp entre le XIXe siècle et le XXe siècle. Il fait alors partie du territoire du bassin minier[21]. Les mineurs du village travaillent essentiellement au puits Arthur-de-Buyer et au puits du Magny[22]. Le nombre de mineurs devient important à partir du XXe siècle, la commune en compte 35 en 1931 puis une quarantaine jusqu’en 1950[23],[24].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Lure.

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône[25]. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Lure. Celui-ci a été scindé par le décret du et la commune rattachée au canton de Lure-Nord[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Lure-2.

La commune de La Côte fait partie du ressort du tribunal de proximité, du conseil de prud'hommes et du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal judiciaire, du tribunal de commerce et de la cour d'assises de Vesoul et de la cour d'appel de Besançon.

Dans l'ordre administratif, elle relève du tribunal administratif de Besançon et de la cour administrative d'appel de Nancy[27],[28]

Intercommunalité

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Le village fait partie depuis 2003[19] de la communauté de communes du Pays de Lure, intercommunalité créée en 1998.

Liste des maires

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La Mairie.
La place de la Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1938 1959 Maurice Georges[29] RPF
puis ARS
Industriel filateur à Lure
Député de la Haute-Saône (1951 → 1958)
Conseiller général de Lure (1947 → 1969)
Président du Conseil général (1953 → 1955)
1959 1994[19] Léon Simonin   Décédé en fonction
juillet 1994 mars 2014[30] Michel Vergnory[19],[31] UMP[32]  
mars 2014[33]   Robert Vuillemard SE  

Population et société

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Évolutions démographiques

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 526 habitants[Note 3], en évolution de +2,14 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
231281342362445432489492469
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
442440437433438412395432432
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
441500496515545544556503492
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
547509517517468476502524518
2021 - - - - - - - -
526--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
L'église.

Le village dispose d'une église catholique.

Concernant d'autres religions, les lieux de cultes les plus proches sont les temples de Magny-Danigon et Clairegoutte pour les protestants, la synagogue de Belfort pour les juifs et la mosquée de Lure pour les musulmans[37].

Le village est équipé d'un terrain de sport[19].

Enseignement

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La commune dispose d'une école primaire, le pôle éducatif « Les amis de l'école ». Pour les écoles supérieures, il faut aller dans d'autres villes, comme Lure.

L'hôpital le plus proche étant celui de Lure, de plus en plus désinvesti par les services publics au profit de celui de Vesoul. Par ailleurs, ces hôpitaux fusionnent en 2017 au profit de la nouvelle infrastructure commune du centre hospitalier de Belfort-Montbéliard, située à mi-chemin entre les deux villes, à Trévenans[38].

La commune dispose d'un bureau de poste, d'une caserne de pompiers et d'une salle des fêtes. Quelques pompiers existent dans le village, et vendent leurs calendriers. Aucun poste de gendarmerie n'est implanté dans le village. L'accès internet est arrivé bien tard dans la commune ; il a fallu attendre l'arrivée qu'une antenne Wi-Fi soit édifié pour bénéficier du web. Divers réunions et autres prestations ont régulièrement lieu, comme les réunions d'anciens combattants.

Les autres services publics sont disponibles à Lure, où l'on trouve notamment la sous-préfecture, les services sociaux locaux du conseil départemental et une de ses antennes techniques routières, Pôle emploi, EDF, les services fiscaux et cadastraux et un tribunal d'instance.

Du miel est produit à La Côte.

Secteur primaire

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La commune est entourée par d'importantes ressources forestières exploitées. Le bois est abattu dans les forêts aux alentours. L'automne, la chasse est pratiquée de manière importante par les amateurs. Bien que quelques étangs existent, la pêche n'y est que pur loisir. Dans les pâtures, il y a quelquefois des chevaux. À l'extrémité du village, du côté de Palante, on cultive tantôt du maïs, tantôt du blé.

La Côte possède un petit secteur industriel où sont présentes plusieurs firmes, notamment Val Métal, Val Air, Val Usinage, Plastigond. Knauf Fibres est la plus grande installation du village, elle fabrique des dalles de plafond et des panneaux isolants à base de laine de bois[39]. L'usine ne se situe pas dans la zone industrielle[19].

La commune accueille également le constructeur Valmetal, leader français des balayeuses-laveuses de voirie[40].

La Côte ne possède aucune grande surface. Cependant, on peut y trouver boulangerie, boucherie et brocanteur. Pour faire des achats, il est nécessaire de se rendre dans les imposantes zones commerciales de Lure. Une fois par an, le village organise un vide-greniers près de la Poste.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de La Côte se blasonnent ainsi :

De sable aux trois bandes bretessées d'or à la fasce d'azur brochante.

Sa devise est :

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, Noidans-lès-Vesoul, fc culture & patrimoine, , 115 p. (ISBN 978-2-36230-001-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « La dépression sous-vosgienne », sur caue-franche-comte.fr.
  2. [PDF] « Carte du massif des Vosges »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur massif-des-vosges.com.
  3. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre La Côte et Étobon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Côte ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Plan Local d'Urbanisme Intercommunal », sur le site de la communauté de communes du pays de Lure, (consulté le ).
  17. « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Les Lignes Saônoises (lignes de bus) », sur cctv70.fr (consulté le ).
  19. a b c d e et f Chantal Lavoine, « Je ne voulais pas être maire : Conseiller dès 1965, 1er adjoint en 1989, Michel Vergnory est installé dans le fauteuil de maire depuis 1994. Il ne rempilera pas un mandat supplémentaire. « Il faut laisser la place aux jeunes », L'Est républicain, édition de Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  20. L. Suchaux 1866, p. 182.
  21. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 14.
  22. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 15.
  23. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 16.
  24. Jean-Jacques Parietti, Les dossiers de la Houillère 2 : Le puits Arthur de Buyer, , p. 21.
  25. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  28. « Carte judiciaire » [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  29. « Maurice Georges (1899 - 1970) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  30. « Michel Vergnory passe la main », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  31. « Michel Vergnory et André Begey honorés », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  32. « Résultats élections municipales 2014 : La Côte 70200 », sur Le Monde (consulté le ).
  33. « Robert Vuillemard installé », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Mosquée de Lure », sur guidemusulman.com (consulté le ).
  38. « Trévenans : les urgences du nouvel hôpital sont ouvertes », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  39. Guillaume Minaux, « Knauf Fibre a 100 ans : l’usine de laine de bois est en pleine forme », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  40. Quentin Bitard, « La Côte : Jacques Daval et Valmétal, retour sur une formidable saga », sur lesaffichesdelahautesaone.fr, (consulté le ).
  41. « Chemins de fer vicinaux de Haute-Saône Sud » [PDF].